PILGRIM AT WALSINGHAM, WITH OUR SISTERS OF ENGLAND...

 

 Walsingham - Our Lady’s Dowry

 

“When England goes back to Walsingham, Our Lady will come back to England” (Pope Leo XIII (1897)

 

At the beginning of September Sr Eileen and Sr Margaret went with the Diocese to Walsingham; our National Shrine of Our Lady. The theme of the retreat was “Walking with Mary to the Heart of Jesus” They walked in the footsteps of Medieval Kings and Queens, Scholars and Saints.

 

Walsingham is an Anglo-Saxon shrine and predates the Norman Invasion of 1066 – just.  In 1061 a Lady of the Manor called Richeldis who had a great devotion to Our Lady asked her what she could do to show her honour.  The story is that Our Lady took Richeldis in spirit to the house in Nazareth where the Annunciation took place and asked her to build a replica in Walsingham.  This ‘vision’ was shown to her three times. Our Lady is reported to have said “..that all who come there shall find help in their need…it shall be a perpetual memorial to the great joy of the Annunciation, ground and origin of all my joys and the root of humanity’s gracious Redemption.  This came about through Gabriel’s message that I would be a Mother through my humility, and conceive God’s Son in virginity”.

 

In medieval times, Walsingham, Jerusalem, Rome and Compostela were the four great pilgrim sites with Walsingham being the only one dedicated to Our Lady. There is a tradition that the title “Dowry of Mary” goes back to St Edward the Confessor (1042-1066).  On the feast of Corpus Christi in 1381, King Richard II (1377-1399) dedicated England to Our Lady in a ceremony at Westminster Abbey as an act of thanksgiving (his Kingdom had been saved when peasants had rebelled against the King of that year).  Richeldis eventually gave the shrine to her son who went off to fight in the Crusades and later it came under the care of the Augustinian Canons.

 

Medieval England had a great devotion to Our Lady and this included many Kings and Queens.  King Henry II visited 13 times and paid for a golden crown for the statue of Our Lady of Walsingham. Henry VIII came twice with Catherine of Aragon his first wife. He walked bare-foot from the Slipper chapel to the shrine and left money for candles to be burnt there.  His ardour didn’t last! Erasmus, the famous scholar and good friend of St Thomas More made two visits from Cambridge, not long before Henry VIII destroyed the shrine in 1538. The Priory and the friary were dissolved and the statue of Our Lady of Walsingham was publicly burnt.  The site of the original house is marked by a simple cross in the Abbey grounds.  

 

The Slipper Chapel built in the 14th Century survived the reformation and is today the Catholic shrine on the site.  Walsingham is both an Anglican and Catholic shrine, with the Holy House having been recreated by the Anglican Vicar in the 1930’s. Despite the devastation wrought by Henry the shrine remains an ancient heritage and is visited by around 250,00 pilgrims a year.

 

The Diocesan group of 50 was led by Bishop Paul and included priests, deacons, religious and laity.  Our Sisters were privileged to lead Morning and Evening prayer and found the group very responsive.  Sr Margaret gave an input at the healing service about hems, a hyena and healing.  It was a time of great blessings as Bishop Paul reminded the group several times that we are all on pilgrimage and that if we keep close to Our Lady, she will lead us to Jesus.

 

Sr Silvana

 

 

 

Walsingham - La dot de la Vierge

 

"Quand l'Angleterre retournera à Walsingham, Notre Dame reviendra en Angleterre" (Pape Léon XIII (1897))

 

Au début du mois de septembre, Sœur Eileen et Sœur Margaret se sont rendues avec le diocèse à Walsingham, notre sanctuaire national de la Vierge. Le thème de la retraite était "Marcher avec Marie vers le cœur de Jésus". Elles ont marché sur les traces des rois et reines médiévaux, des érudits et des saints.

 

Walsingham est un sanctuaire anglo-saxon antérieur à l'invasion normande de 1066.  En 1061, une dame du manoir, Richeldis, qui vouait une grande dévotion à Notre-Dame, lui a demandé ce qu'elle pouvait faire pour lui rendre hommage.  L'histoire raconte que la Vierge a emmené Richeldis en esprit dans la maison de Nazareth où l'Annonciation a eu lieu et lui a demandé de construire une réplique à Walsingham.  Cette "vision" lui a été montrée à trois reprises. Notre Dame aurait dit "...que tous ceux qui viendront là trouveront de l'aide dans leur besoin...ce sera un mémorial perpétuel de la grande joie de l'Annonciation, terre et origine de toutes mes joies et racine de la gracieuse Rédemption de l'humanité...".  Cela s'est produit grâce au message de Gabriel qui m'a dit “que je serai une Mère par mon humilité et que je concevrai le Fils de Dieu dans la virginité".

 

À l'époque médiévale, Walsingham, Jérusalem, Rome et Compostelle étaient les quatre grands sites de pèlerinage, Walsingham étant le seul dédié à Notre-Dame. Une tradition veut que le titre de "dot de Marie" remonte à saint Édouard le Confesseur (1042-1066).  Lors de la fête du Corpus Christi en 1381, le roi Richard II (1377-1399) a dédié l'Angleterre à Notre-Dame lors d'une cérémonie à l'abbaye de Westminster en guise d'action de grâce (son royaume avait été sauvé lorsque les paysans s'étaient rebellés contre le roi de cette année-là).  Richeldis a finalement donné le sanctuaire à son fils qui est parti combattre dans les croisades et plus tard, il a été confié aux chanoines augustins.

 

L'Angleterre médiévale vouait une grande dévotion à Notre-Dame, y compris de la part de nombreux rois et reines.  Le roi Henri II s'est rendu 13 fois à Walsingham et a payé une couronne d'or pour la statue de Notre-Dame de Walsingham. Henri VIII est venu deux fois avec Catherine d'Aragon, sa première épouse. Il a marché pieds nus de la chapelle des pantoufles au sanctuaire et a laissé de l'argent pour que des cierges y soient brûlés.  Son ardeur n'a pas duré ! Erasmus, le célèbre érudit et bon ami de St Thomas More, s'y rendit à deux reprises depuis Cambridge, peu de temps avant qu'Henri VIII ne détruise le sanctuaire en 1538. Le prieuré et le couvent furent dissous et la statue de Notre-Dame de Walsingham fut brûlée publiquement.  L'emplacement de la maison d'origine est marqué par une simple croix dans le parc de l'abbaye.

 

La chapelle des chaussons, construite au XIVe siècle, a survécu à la réforme et constitue aujourd'hui le sanctuaire catholique du site.  Walsingham est à la fois un sanctuaire anglican et catholique, la Sainte Maison ayant été recréée par le vicaire anglican dans les années 1930. Malgré la dévastation causée par Henry, le sanctuaire reste un héritage ancien et est visité par environ 250 000 pèlerins par an.

 

Le groupe diocésain de 50 personnes était dirigé par l'évêque Paul et comprenait des prêtres, des diacres, des religieux et des laïcs.  Nos sœurs ont eu le privilège de diriger la prière du matin et du soir et ont trouvé le groupe très réceptif.  Lors du service de guérison, Sœur Margaret a parlé des ourlets, d'une hyène et de la guérison.  Ce fut un temps de grandes bénédictions, l'évêque Paul ayant rappelé à plusieurs reprises au groupe que nous sommes tous en pèlerinage et que si nous restons proches de Notre Dame, elle nous conduira à Jésus.